NEBULAR n° 52
Le Protectorat Moral
 
TITRE ORIGINAL
Das Moralische Protektorat
 
Traducteur : Gérard Girolami
 
Inclus dans
Recueil n° 12 : La Guerre Eternelle
Recueil XL n° 4 : Danger du passé
   
    Nous sommes en 2128 et des évènements inquiétants se dessinent. O’zeris, chef de guerre génorant, est apparu de façon inattendue dans le système de Khmeer et donne le sentiment de nourrir de sombres desseins. Il semble avoir l’intention de combler le vide de pouvoir laissé par la disparition des cinq Maisons progonautes, tandis que les Estranas, Progonautes infectés par la Technologie Parasite, paraissent devoir jouer un rôle important, en particulier après l’apparition de Brégoradon, l’ancien souverain de la Maison de Persia qui a pu traverser les millénaires grâce à un sarcophage temporel.

    Les civilisations représentées dans la CoopGal doivent, en plus de cela, tenir aussi compte de l’activité des Guerriers Temporels dans la Voie Lactée, de la présence de Un, le Premier Clerc qui pourrait s’avérer un dangereux adversaire, et des Éclairés dont l’activité sur ZyClon reste, pour l’instant, énigmatique.

    Initialement, les combats opposaient les partisans de Neurotim et ceux de Nebular, mais, après la destruction de l’arme temporelle sur Spin, il ne reste plus de tout cela qu’une image chaotique dans laquelle les acteurs et leurs intentions sont difficiles à cerner.

    La jeune communauté galactique, basée sur la coopération, la recherche pacifique et le développement, est de ce fait confrontée à des défis majeurs liés à la Guerre Éternelle, et particulièrement l’Humanité qui, semblant se trouver au foyer des anciens pouvoirs, se voit menacée d’extermination ou d’asservissement, ce qui entraîne une énorme tension dans tout le Système Solaire.

    Toïber Arkroïd et un groupe d’amis ont depuis longtemps reconnu le sérieux de la situation et se demandent si l’Union Solaire sera en mesure de surmonter la plus grande menace qui soit apparue après la fin de la boucle temporelle. Il est difficile d’avoir de bons conseils et le Mariner ne voit pour seule alternative qu’un Protectorat Moral.
 



© Michel Vannereux